Experts, femmes et aussi des veuves étaient réunis lundi 05 février 2012, au siège de la coopération technique allemande (GIZ) à Yaoundé, pour discuter des questions de successions et des rites de veuvage. Le problème posé, était celui de savoir que faire des pratique de succession et des rites de veuvage qui au Cameroun sont encore très discriminatoire en l’encontre des femmes. Sur la question les solutions ont profondément divergée. Selon Monsieur Foka du CIPCRE, la question des rites de veuvages est indissociable de certaines communautés notamment rurales. « Nous avons travaillé dans le cadre de nos activités sur les rites de veuvages chez les Baham (ethnie de l’ouest Cameroun). Ce que j’y ai vu m’a complétement bouleversé. Les règles ne sont connus d’avance et certaines indications sont parfois inimaginables pour nous qui résidons dans les milieux urbains.
Pour plus d'informations, veuillez visiter le site web de Journal du Cameroun
Experts, femmes et aussi des veuves étaient réunis lundi 05 février 2012, au siège de la coopération technique allemande (GIZ) à Yaoundé, pour discuter des questions de successions et des rites de veuvage. Le problème posé, était celui de savoir que faire des pratique de succession et des rites de veuvage qui au Cameroun sont encore très discriminatoire en l’encontre des femmes. Sur la question les solutions ont profondément divergée. Selon Monsieur Foka du CIPCRE, la question des rites de veuvages est indissociable de certaines communautés notamment rurales. « Nous avons travaillé dans le cadre de nos activités sur les rites de veuvages chez les Baham (ethnie de l’ouest Cameroun). Ce que j’y ai vu m’a complétement bouleversé. Les règles ne sont connus d’avance et certaines indications sont parfois inimaginables pour nous qui résidons dans les milieux urbains.
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