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Élections

Depuis plus d’un an, le mouvement révolutionnaire #MeToo et l’initiative qui en a résulté Time’s Up ont permis de briser les tabous et d’initier une conversation mondiale sans précédent sur le sexisme, le harcèlement et la violence auxquels de nombreuses femmes sont confrontées dans leurs environnements professionnels..

Les femmes politiques disent également #MeToo en politique. Les femmes ne représentant que 5,2% des chefs de gouvernement, 6,6% des chefs d’État[1] et 24% des parlementaires[2] à travers le monde, par conséquent la politique est un milieu essentiellement dominé par les hommes. Cependant, les femmes sont de plus en plus présentes dans plusieurs domaines, y compris la politique avec ses parlements, assemblées élues, organes gouvernementaux et partis politiques. Alors que les femmes avancent et défient les normes de genre qui les ont historiquement exclues de la politique, elles sont confrontées à des actes d'hostilité et de violence au sein de ces institutions.[3]

La violence à l’égard des femmes en politique prend plusieurs formes et peut avoir un  caractère physique, sexuel ou psychologique. Naturellement, les hommes peuvent être affectés par la violence en politique aussi bien que les femmes, mais la violence à l'égard des femmes en politique est différente à cause de son caractère sexiste. Elle cible les femmes en raison de leur sexe et les actes de violence sont basées sur le genre, tels que les remarques sexistes ou le harcèlement sexuel et la violence. La violence à l’égard des femmes en politique est une violation des droits de l’homme et, en empêchant la participation politique des femmes, elle constitue également une violation des droits politiques des femmes.[4]

Une étude mondiale de l'Union interparlementaire (UIP) publiée en 2016 et une étude centrée sur les pays européens publiée en 2018 ont révélé que la violence à l'égard des femmes en politique est très répandue. Les deux études ont révélé que plus de 80% des femmes interrogées avaient été victimes d'actes de violence psychologique, notamment des menaces de mort, de viol, de frappes ou d'enlèvement pendant leur mandat. Les études ont également révélé que les actes de violence psychologique à l'encontre des femmes parlementaires sont particulièrement nombreux en ligne et sur les réseaux sociaux. Les remarques sexistes et misogynes, les images humiliantes, le harcèlement moral, l'intimidation et les menaces contre les femmes dans la vie publique ou les femmes qui expriment leurs opinions politiques sont devenues monnaie courante. Les jeunes femmes parlementaires et les femmes actives dans la lutte contre l'inégalité des sexes et la violence à l'égard des femmes ont souvent été ciblées d’une manière particulière.

Les études ont également montré qu'un quart des femmes parlementaires interrogées étaient la cible de harcèlement sexuel de la part de parlementaires de sexe masculin, issus de leur propre parti politique et d’autres.

Objectif de la discussion en ligne

La lutte pour promouvoir la participation égale des femmes à la prise de décision et pour mettre un terme à toutes les formes de violence à l’égard des femmes fait l’objet d’une attention sans précédent alors que de plus en plus de femmes en politique s’expriment à travers le mouvement #MeToo. De même, l'adoption des Objectifs de Développement Durable (ODD)a mis en lumière les engagements de tous les pays d'éliminer toutes les formes de violence à l'égard des femmes et des filles (cible 5.2 des ODD) et de garantir la participation pleine et effective des femmes et l'égalité des chances en matière de leadership à tous les niveaux des processus décisionnel dans la vie politique, économique et publique (cible 5.5 des ODD). iKNOW Politics et ses partenaires lancent cette discussion en ligne pendant les 16 jours d'activisme contre la violence sexiste. Des contributions en arabe, anglais, français et espagnol sont les bienvenues du 26 novembre au 21 décembre 2018. La discussion en ligne vise à sensibiliser à la question de la violence sexiste à l'égard des femmes en politique et à élargir le dialogue sur comment rendre les espaces politiques plus sûrs et plus inclusifs pour les femmes.

Questions

  1. Qu'est-ce qui cause la violence contre les femmes en politique ? Pourquoi est-elle si répandue à travers le monde ? 
  2. L'UIP indique qu'environ la moitié des femmes parlementaires victimes d'actes de violence ne les signalent pas au service de sécurité parlementaire et / ou à la police. Le taux est beaucoup plus bas pour les plaintes  de harcèlement sexuel. Comment expliquez-vous cela ? Que faut-il changer pour que toutes les femmes portent plainte ?
  3. Les réseaux sociaux offrent un espace  dans lequel la violence psychologique (Ex. Remarques sexistes et misogynes, images humiliantes, harcèlement moral, intimidation et menaces) est perpétrée contre des femmes en politique. Comment expliquez-vous cela ? Comment pouvons-nous nous assurer que les réseaux sociaux soient un forum sécurisé pour elles ?
  4. La violence à l'égard des femmes en politique rend le travail des politiciennes difficile et potentiellement dangereux et par conséquent peu attrayant comme choix de carrière. Quel message donneriez-vous aux femmes découragées de s'engager dans la vie politique à cause de la peur ou du risque de violence ?

Pour participer : 

  1. Utilisez la section de commentaires ci-dessous ; ou
  2. Envoyez votre contribution à connect@iknowpolitics.org afin qu’on la publie pour vous.  
Notes
[1] Situation au 1er novembre 2018. Données compilées par ONU Femmes sur la base des informations fournies par les missions permanentes auprès de l'Organisation des Nations Unies
[2] Situation au 1er octobre 2018. Femmes dans les parlements nationaux, UIP: archive.ipu.org/wmn-e/world.htm (consulté le 6 novembre 2018)
[3] UIP, « Sexisme, harcèlement et violence à l’égard des femmes dans les parlements d’Europe », Octobre 2018.
[4] Nations Unies, « Rapport de la Rapporteuse spéciale sur la violence contre les femmes, ses causes et ses conséquences concernant la violence contre les femmes en politique » para 11. août 2018. Voir aussi ONU Femmes, “Violence against women in politics: Expert Group Meeting report and recommendations”, 2018, et NDI,”Not The Cost: Stopping Violence Against Women in Politics”, 2016.

Les femmes continuent d'être fortement sous-représentées dans les processus et les organes de prise de décisions à travers le monde à tous les niveaux. L'Union interparlementaire (UIP) indique que seulement 23% des membres de parlement sont des femmes. L'accès inégal aux ressources nécessaires pour candidater ou participer à des campagnes électorales constitue un facteur important de ce manque de représentation. Il est de plus en plus reconnu que la politique dominée par l'argent est le plus souvent une politique dominée par les hommes. L'UIP a mené une enquête en 2008 auprès de 300 députées affirmant que le financement de la campagne était l'un des plus grands obstacles rencontrés par les femmes. Cela a été confirmé plus tard dans la recherche effectuée par ONU Femmes en 2013 [1], où plus de 80% des répondants ont identifié l'accès au financement comme l'un des plus grands obstacles pour entrer en politique. Les coûts de la course électorale varient considérablement d'un pays à l'autre et les obstacles rencontrés par les femmes diffèrent selon le contexte. Des problèmes systémiques tels qu'un statut économique généralement inférieur et un manque d'indépendance économique affectent les femmes à l'échelle mondiale, ce qui crée de forts obstacles à la participation des femmes à la vie politique [2].

Il existe plusieurs facteurs influent sur la participation politique des femmes et les systèmes électoraux font partie des plus importants d’entre eux. Les systèmes majoritaires et centrés sur les candidats tendent à exiger plus d'autofinancement de la part des candidats, ce qui désavantage les femmes. Les coûts sont engendrés par les campagnes d’élections primaires et puis dans la période électorale générale. Les primaires de partis peuvent être très coûteuses et devenir un obstacle à la participation des femmes car elles nécessitent souvent un autofinancement important. Les systèmes proportionnels exigent généralement moins de financement de la part du candidat et sont donc considérés comme plus favorables aux femmes. Cela est dû aux partis politiques qui assument la plupart des coûts des campagnes. Cependant, les partis politiques désignent souvent des hommes qui, selon eux, sont plus susceptibles d'attirer plus de financements privés en raison de stéréotypes de genre enracinés.

Dans de nombreux pays, le rôle du financement privé est réduit en raison du financement public de l'État. Une trentaine de pays ont introduit des mesures de financement public qui favorisent la nomination et l'élection des femmes dans les organes de décision. Cela peut inclure l'affectation de fonds pour des activités de soutien à la participation des femmes, telles que le financement direct des ailes féminines ; le refus de financement pour les partis qui n'atteignent pas le seuil de candidatures féminines ; ou l’augmentation du financement pour les parties ayant des niveaux plus élevés d'égalité des sexes. Le dernier /en/en/enrapport d'International IDEA sur le sujet indique que le financement public sensible au genre n'est efficace que dans les pays où les montants de financement public sont élevés par rapport au financement privé; quand les pertes potentielles de financement public pour la non-nomination des femmes sont élevées; et que le lien entre le financement public et l'égalité des sexes est suffisant pour surmonter les préjugés sexistes au sein des partis politiques. Dans les contextes où les partis ne dépendent pas du financement public, les pénalités pour non-conformité sont faibles et le financement public sensible au genre a peu de chances d'être efficace.

iKNOW Politics et ses partenaires organisent cette discussion électronique du 15 mai au 19 juin 2018 afin de recueillir les avis de dirigeants et membres de partis politiques, de politiciens, d’experts, de praticiens et de chercheurs sur les défis et opportunités du financement pour les candidates et son rôle dans la promotion de la participation politique des femmes. Les contributions permettront l'élaboration d'une réponse consolidée qui augmentera la base de connaissances disponible sur le financement des campagnes électorales et son impact sur la participation politique des femmes.

Questions

  1. D'après votre expérience, quels sont les principaux défis auxquels les femmes sont confrontées dans la collecte de fonds pour les campagnes électorales dans votre pays ?
  2. Existe-t-il des exemples de méthodes novatrices de collecte de fonds utilisées par les femmes candidates ?
  3. Quelles sont les bonnes pratiques dans les partis politiques pour soutenir la candidature et la collecte de fonds pour les femmes ?
  4. Que peuvent les gouvernements prendre comme mesures pour soutenir financièrement les candidates ? Et comment peuvent-elles être efficacement appliqués ?

Pour participer : 

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  2. Envoyez votre contribution à connect@iknowpolitics.org afin qu’on la publie pour vous.   

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[1] ONU Femmes a réalisé une évaluation des parlementaires et des militants lors de la 57ème session de la Commission de la condition de la femme à New York en mars 2013, et avec les membres du réseau iKNOW Politics, http://www.iknowpolitics.org. Au total, 70 répondants ont donné leur avis sur la question du financement politique.

[2] Pour une analyse complète des défis rencontrés par les femmes à travers le monde pour obtenir des financements, veuillez vous référer au chapitre «Les femmes en politique: Financer l'égalité des genres» dans Funding of Political Parties and Election Campaigns: A Handbook on Political Finance.

L'argent est essentiel pour le fonctionnement des partis politiques et affecte particulièrement les candidats dans les campagnes électorales. Les règles de financement de la vie politique déterminent si les femmes peuvent se porter candidates, être élues, mener des campagnes et aller à la rencontre de la population. Les règles de financement de la vie politique sont utilisées pour égaliser les chances dans la compétition électorale. Elles peuvent aussi veiller à ce que les femmes soient en mesure de rivaliser avec les hommes sur un pied d'égalité. Cela peut résulter en une augmentation de la participation politique des femmes - un élément clé de l’exercice de la démocratie.

Les règles de financement doivent être adaptées aux différents contextes et prendre en compte les réalités sur le terrain. En ce sens, iKNOW Politics cherche à recueillir des informations sur les lois, règlements et pratiques qui ont été mises en place pour aider les femmes à relever les défis en matière de collecte de fonds pour les campagnes politiques. Nous souhaiterions rassembler de bonnes expériences dans ce domaine, en lien avec les points suivants:

·       Y’a-t-il des mesures (législatives) en place pour règlementer  les campagnes politiques des femmes candidates et des hommes candidats de manière juste et équitable, notamment en matière de financement électoral? Si oui, quelles sont ces mesures (limite des dépenses autorisées, délais, réformes des règles de financement de la vie publique pouvant bénéficier les femmes, etc.) ?

·       Existe-il des lois discriminatoires envers les femmes candidates relatives au financement politique? Quelles réformes sont requises pour y remédier (par exemple, la mise en place de mesures de contrôle pour renforcer le respect des règles de financement des campagnes électorales, y compris celles relatives à la divulgation d’information et aux financements illicites)?

·       Comment les partis politiques font face aux inégalités entre les femmes et les hommes en matière de financement politique (par exemple : à travers la mise en place de mécanismes informels tels que les collectes de fonds internes ou les contributions volontaires en nature, etc.)? Quels sont ces mécanismes?

·       Y’a-t-il des différences dans la façon dont les femmes candidates et les hommes candidats dépensent leurs fonds de campagne? Par exemple, les dépenses sont-elles plus élevées pour les femmes en raison des risques sécuritaires, des frais de garde d’enfants, etc. ?

En Mauritanie, les électeurs voteront samedi pour les élections législatives, régionales et municipales. Malgré quelques avancées, les femmes demeurent sous-représentées sur la scène politique mauritanienne. Pour certaines candidates, ce sont les mentalités qui doivent évoluer.

Source: TV5 Monde

Les élections des gouverneurs et des assemblées d'État au Nigeria se sont tenues ce weekend. Beaucoup d’observateurs s’intéressaient à ces scrutins pour voir comment les femmes candidates s'en sortent aux urnes. Le nombre de femmes élues à l'Assemblée nationale du Nigeria a chuté de moitié lors du scrutin du 25 février, ce qui, selon les militants, est un pas en arrière pour les femmes confrontées aux préjugés culturels dans la sphère politique.

Source: VOA

INTERVIEW - A la veille du deuxième tour des élections législatives, Mariette Sineau, politologue co-autrice de Femmes et République (La Documentation française, 2021) explique pourquoi, malgré des progrès indéniables en matière de parité politique, des freins persistent à l'accession des femmes aux plus hauts postes de la République.

Mariette Sineau est politologue, directrice de recherche honoraire CNRS au Centre de recherches politiques de Sciences Po, est spécialiste du genre et de la parité en politique. Pour Challenges, elle revient sur le chemin parcouru par les femmes depuis les années 2000 et les freins qui subsistent, à la veille du deuxième tour des élections législatives de ce dimanche 19 juin.

Cliquez ici pour lire l’interview publiée par Challenges, le 15 juin 2022.


Pour la première fois en Australie, le sexisme est un enjeu de la campagne politique. Lassées de l'inaction du gouvernement face aux agressions sexuelles et aux discriminations, les électrices se détournent des conservateurs et pourraient faire changer la majorité. Plusieurs affaires de viols ont été révélées, notamment dans le secteur minier et au Parlement. La mobilisation contre ces scandales pourrait coûter son poste au très conservateur Premier ministre, Scott Morrison.

Cliquez ici pour accéder à la vidéo publiée par France 24, le 13 mai 2022.

Le Sénégal note une progression du nombre de femmes maires. Le chiffre est passé de 15 à 18 lors des précédentes élections locales.

Sur cette légère progression, nous pouvons aussi noter l'élection de trois présidentes de conseil départemental en 2022, contre deux, en 2014.

C'est Un reportage de Aminata Thiam et Sanoussy Sané.

Cliquez ici pour accéder au reportage.

Bienvenue dans le nouveau MOOC du Knight Center, “Liberté d’expression, intelligence artificielle et élections”,organisé par le Knight Center for Journalism in the Americas en partenariat avec l’UNESCO, le PNUD et avec le soutien de la Division de l’Assistance Électorale (EAD) du Département des Affaires Politiques et de Consolidation de la Paix (DPPA).

Pendant ce cours en ligne ouvert à tous de 4 semaines, qui se tiendra au cours du mois d’avril 2024, les participants apprendront et exploreront le monde fascinant et en constante évolution de la technologie et de la démocratie, en particulier l’impact de l’intelligence artificielle sur la liberté d’expression lors des élections. 

S’inscrire sur la plateforme est facile. Veuillez suivre ces étapes :

  • Créez un compte sur notre plateforme d’enseignement Journalism Courses. Même si vous avez déjà suivi un cours avec nous auparavant, il se peut que vous ayez besoin de créer un nouveau compte. Vérifiez si votre nom d’utilisateur et votre mot de passe précédents fonctionnent avant de créer un nouveau compte.
  • Attendez une confirmation dans votre e-mail indiquant que votre compte a été créé. Si vous ne recevez pas cela, vérifiez votre dossier de courriers indésirables.
  • Une fois votre compte créé et confirmé, veuillez cliquer sur le lien suivant pour vous inscrire : https://www.kccourses.org/enrol/index.php?id=125
  • Cliquez sur “S’inscrire” pour vous inscrire au cours. Vous pourrez accéder au cours dans le menu “Mes Cours” en haut de la page.
  • Après avoir terminé votre inscription, vous aurez un accès immédiat au cours et recevrez également un e-mail de confirmation.

Qui peut s’inscrire ? (A qui s’adresse ce cours ?)

  • Les praticiens et les régulateurs électoraux. 
  • Les journalistes et les professionnels des médias. 
  • Les organisations de la société civile travaillant dans le domaine des élections, des droits de l’homme et de l’égalité entre les genres.
  • Les étudiants et les éducateurs.
  • Les électeurs et les citoyens désireux de comprendre l’IA et son impact sur la démocratie.

Cliquez ici pour vous inscrire.

La publication «Prévenir la violence à l'égard des femmes dans les élections: Guide de programmation», produite conjointement par ONU Femmes et le PNUD, met en lumière la violence contre les femmes dans les élections.

Ce guide vise à aider ceux qui œuvrent pour une participation accrue des femmes aux processus électoraux et pour limiter la prévalence de la violence à l’égard des femmes dans les élections. Il cherche à identifier les composantes spécifiques de cette violence, y compris les formes, les tactiques, les victimes et les auteurs, et il offre diverses alternatives pour prévenir et limiter cette violence en s’appuyant sur les bonnes pratiques actuelles. Le Guide présente des pratiques existantes ainsi que des pistes de réponses politiques et programmatiques susceptibles d’aider des organismes tels que le PNUD, ONU-Femmes et d’autres agences des Nations Unies dans leur travail d’assistance technique. Il apporte des exemples de définitions et de méthodes issus de toutes les régions. Le Guide ne cherche pas à prescrire une approche particulière et reconnaît que les problèmes et les solutions varieront en fonction du contexte national de chaque pays. Ce qui a bien fonctionné dans un endroit donné et en un temps donné peut ne pas être approprié dans tous les pays, mais peut susciter des idées pour d’autres actions dans un contexte spécifique 

Source: UN Women

Ce cours a été conçu à l'intention des praticiens et des praticiennes actifs dans le domaine électoral en vue de favoriser la tenue d’élections crédibles et transparentes auxquelles ont accès tous les segments de la société. Il est donc destiné aux administrateurs et administratrices de processus électoraux, aux prestataires d’assistance électorale internationale, aux membres de la société civile, aux candidats et candidates politiques, aux membres de partis politiques et à toutes les autres personnes exerçant des fonctions dans l’administration publique ou s’intéressant à celle-ci.

Bien qu’il fasse fond sur plusieurs produits de connaissance élaborés par le PNUD, ONU-Femmes et d’autres organismes des Nations Unies, ce cours n’exige pas de connaissances préalables de textes particuliers. Vous aurez accès tout au long de son déroulement à des informations sur les lectures complémentaires, ainsi que sur les données et publications pertinentes disponibles en ligne qui seraient susceptibles de présenter un intérêt et qui vous permettront d’étendre vos connaissances sur l’accroissement de la participation des femmes à toutes les phases du cycle électoral.

Cliquez ici pour commencer les cours.

Ce manuel décrit la méthodologie d'observation utilisé par I Watch relative au financement des campagnes au cours du prochain cycle électoral en Tunisie.

On vous invite a lire le rapport publié par I Watch Organization