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Partis politiques

Le Parti socialiste voudrait ne présenter que des femmes, idéalement mères, à la succession au Conseil fédéral. En se portant candidat contre l’avis de sa formation, le ténor du parti Daniel Jositsch a relancé un débat sur la discrimination, qui rappelle que la question de la place des femmes aux plus hautes fonctions n’est toujours pas neutre.

Avec la démission surprise de la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga, qui quittera le gouvernement à la fin de l’année, se pose la question de sa succession. Une succession à enjeux pour son parti, le Parti socialiste (PS), soucieux de cohérence avec ses valeurs d’inclusion - a fortiori à un an des élections fédérales. Le groupe parlementaire socialiste doit trancher ce vendredi 18 novembre sur le nombre de candidatures et les critères à remplir pour figurer sur le ticket; les noms seront désignés une semaine plus tard et l’élection aura lieu le 7 décembre.

Dès l’annonce du départ de la ministre, la direction du PS a fait part de son souhait de présenter un ticket composé de deux femmes, excluant toute candidature masculine. Ce positionnement peut être considéré de manière purement mathématique: les socialistes disposent actuellement de deux sièges au Conseil fédéral. L’un est occupé depuis 2012 par un homme, Alain Berset, qui n’a pour l’heure pas manifesté son intention de le libérer; l’autre a été occupé pendant douze ans par une femme et devrait donc, selon une logique paritaire, être repourvu par une femme.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Swissinfo.ch, le 17 novembre 2022.

Le parti chrétien-démocrate allemand CDU, réuni samedi en congrès à Hanovre, a pour la première fois de son histoire adopté un quota de femmes pour ses instances dirigeantes, avec un objectif de parité en 2025.

Les délégués du principal parti d'opposition ont adopté cette nouvelle règle, avec 559 votes pour, 409 contre et 11 abstentions, a constaté un journaliste de l'AFP sur place.

A partir de l'année prochaine, les femmes devront occuper un tiers des postes de direction aux échelons locaux comme nationaux, 40% à partir de 2024 et 50% à la mi-2025.

Cliquez ici pour lire larticle publié par TV5 Monde, le 10 septembre 2022.

Québec solidaire (QS) a officiellement complété son équipe en vue de l’élection provinciale de cet automne. Parmi les candidatures, l’on retrouve 70 femmes et 55 hommes, «une fierté» pour la porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé.

Le parti possède un candidat dans chacune des circonscriptions du Québec. Selon Manon Massé, la tâche de trouver les 125 candidats n’était pas particulièrement ardue. Elle dit que les candidats sont prêts «à sauter dans le bain» dès dimanche, date à laquelle les élections provinciales seront déclenchées au Québec.

Bien qu’historiquement il y ait toujours un nombre inférieur de femmes qui siègent à l’Assemblée nationale - le record étant 42% de femmes élues lors des élections de 2018 - Manon Massé ne croit pas que d’avoir plus de candidates soit un désavantage dans la course électorale.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Droit, le 27 août 2022.

Décidée à contrarier jusqu’au bout son ex-compagnon de lutte et encore époux Laurent Gbagbo, la wonderwoman Simone Ehivet va diriger sa propre formation politique. Le Mouvement des générations capables (Mgc) qui s’était déclaré mouvement citoyen à sa naissance après le 17 octobre 2021, date de naissance du Ppa-Ci, va revêtir le manteau de parti politique pour assouvir les ambitions politiques de l’ancienne première dame. Simone Gbagbo, 73 ans, se lance dans une aventure qui ne manquera pas d’être périlleuse quoi que l’événement ne sera pas un saut dans l’inconnu. Le syndicalisme et la politique ont forgé Simone et elle connaît le milieu politique. Pour cette aventure que certains ont vu venir, depuis son refus d’adhérer au Ppa-Ci, elle peut compter sur des visages bien connus qui lui sont restés fidèles quand s’effondre le Fpi dans son ancienne ossature.

Entre autres personnalités qui s’affichent déjà avec elle, en attendant d’autres recrues, on peut citer :

Lazare Koffi Koffi, ancien ministre et idéologue

Il est enseignant de profession. Chargé de cours d’histoire contemporaine à l’université de Bouaké entre 1997 et 2000, cet originaire du royaume du Sanwi (Aboisso) est une figure de proue du Fpi. Sous Laurent Gbagbo il occupe deux fois un poste de ministre.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Connection Ivoirienne, le 18 août 2022.

Dans la plupart des partis politiques au Burundi, la gent féminine est moins représentée. Selon les représentants des partis, les femmes ne se battent pas pour leur place. Ces dernières estiment se heurter à un mur de défis.

Au sein du parti au pouvoir, deux sur six membres du secrétariat national du parti sont des femmes. Dans les bureaux provinciaux, il y a au moins une femme sur six membres, selon Nancy Ninette Mutoni, porte-parole du parti.

Le parti Cnl, principal parti de l’opposition, compte 32% de femmes sur l’effectif total des membres du parti. Le comité exécutif du parti est formé de 3 femmes sur un total de dix membres.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Iwacu, le 20 juillet 2022.


À deux mois des élections au Québec, le recrutement des candidats bat son plein. Alors que les partis sont conscients de l’importance de présenter plus de femmes, le Parti québécois traîne de la patte en la matière.

Avec seulement 17 femmes sur 45 candidats (38 %) sur la ligne de départ, le Parti québécois (PQ) est pour l’instant la formation politique avec le moins de candidats de sexe féminin. C’est le seul parti hors de la zone paritaire (entre 40 % et 60 %).

Le PQ assure qu’il va remédier à la situation. «On sera dans la zone paritaire sans inquiétude avec nos 125 candidatures», affirme l’attachée de presse du parti Laura Chouinard-Thuly.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Soleil, le 16 juillet 2022.