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Liban: La candidature des femmes ralentie par la misogynie en matière de pouvoir

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Liban: La candidature des femmes ralentie par la misogynie en matière de pouvoir

Source: L’Orient du Jour

« Les élections sont des affaires d’alliances communautaires et familiales où la femme a peu de place », affirme la représentante du PSP.

Des représentants des partis politiques se sont rassemblés hier à l’hôtel Kempinski pour tenir une table ronde sur la candidature des femmes aux élections législatives. L’initiative, financée par l’Union européenne, est celle conjointe du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), de l’ONU Femmes, et du ministère d’État aux Droits de la femme. Cet événement marque le lancement d’une campagne visant à encourager la candidature des femmes aux élections législatives. La nouvelle loi électorale ne prévoit pas un système de quota pour garantir une place aux femmes alors que le Liban se trouve à la traîne du monde en ce qui concerne la participation des femmes à la vie politique. 

Brillamment modérée par la journaliste Najat Charafeddine, la table ronde a rassemblé Chantal Sarkis des Forces libanaises (FL), Rima Fakhry du Hezbollah, Manal Saheid du Parti socialiste progressiste (PSP), Ahmad Fatfat du courant du Futur, Simon Abiramia du Courant patriotique libre (CPL) et Ali Rahhal du mouvement Amal, en l’absence d’un représentant du parti Kataëb qui devait figurer pourtant parmi les participants.

Cliquez ici pour lire l’article publié par L’Orient du Jour le 18 janvier 2018.

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ONU Femmes
PNUD

« Les élections sont des affaires d’alliances communautaires et familiales où la femme a peu de place », affirme la représentante du PSP.

Des représentants des partis politiques se sont rassemblés hier à l’hôtel Kempinski pour tenir une table ronde sur la candidature des femmes aux élections législatives. L’initiative, financée par l’Union européenne, est celle conjointe du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), de l’ONU Femmes, et du ministère d’État aux Droits de la femme. Cet événement marque le lancement d’une campagne visant à encourager la candidature des femmes aux élections législatives. La nouvelle loi électorale ne prévoit pas un système de quota pour garantir une place aux femmes alors que le Liban se trouve à la traîne du monde en ce qui concerne la participation des femmes à la vie politique. 

Brillamment modérée par la journaliste Najat Charafeddine, la table ronde a rassemblé Chantal Sarkis des Forces libanaises (FL), Rima Fakhry du Hezbollah, Manal Saheid du Parti socialiste progressiste (PSP), Ahmad Fatfat du courant du Futur, Simon Abiramia du Courant patriotique libre (CPL) et Ali Rahhal du mouvement Amal, en l’absence d’un représentant du parti Kataëb qui devait figurer pourtant parmi les participants.

Cliquez ici pour lire l’article publié par L’Orient du Jour le 18 janvier 2018.

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