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Au Liban, les femmes restent les grandes absentes du Parlement

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Au Liban, les femmes restent les grandes absentes du Parlement

Source: RFI

Le Liban est l’un des plus mauvais élèves au monde sur le plan de la participation des femmes dans la vie politique. Le pays du cèdre occupe la 185e place sur 193 en termes de représentation féminine au Parlement. On y dénombre quatre femmes députées seulement, sur 128 membres du Parlement. Une seule femme est ministre dans un gouvernement de 30 personnes. Cette situation ne promet pas de s’améliorer à la faveur des prochaines élections législatives, prévues le 6 mai. \

Les médias et les dirigeants politiques ont applaudi, après que 111 femmes ont présenté leur candidature, sur 976 prétendants à un siège parlementaire. Comparé aux scrutins des années précédentes, le progrès est certes évident. En 2009, il y avait 12 femmes candidates, et en 2005, elles n’étaient que quatre.Mais dans l’absolu, 111 femmes, cela ne représente que 11% du nombre total de candidats. Un chiffre bien en deçà du quota obligatoire de 30% réclamé par les organisations féministes et écarté par ceux qui ont préparé la nouvelle loi électorale - et qui sont tous des hommes.

Cliquez ici pour lire l’article publié par RFI le 02 avril 2018.

 

 

 

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Le Liban est l’un des plus mauvais élèves au monde sur le plan de la participation des femmes dans la vie politique. Le pays du cèdre occupe la 185e place sur 193 en termes de représentation féminine au Parlement. On y dénombre quatre femmes députées seulement, sur 128 membres du Parlement. Une seule femme est ministre dans un gouvernement de 30 personnes. Cette situation ne promet pas de s’améliorer à la faveur des prochaines élections législatives, prévues le 6 mai. \

Les médias et les dirigeants politiques ont applaudi, après que 111 femmes ont présenté leur candidature, sur 976 prétendants à un siège parlementaire. Comparé aux scrutins des années précédentes, le progrès est certes évident. En 2009, il y avait 12 femmes candidates, et en 2005, elles n’étaient que quatre.Mais dans l’absolu, 111 femmes, cela ne représente que 11% du nombre total de candidats. Un chiffre bien en deçà du quota obligatoire de 30% réclamé par les organisations féministes et écarté par ceux qui ont préparé la nouvelle loi électorale - et qui sont tous des hommes.

Cliquez ici pour lire l’article publié par RFI le 02 avril 2018.

 

 

 

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