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Genre en mouvement : conflits, négociations et recompositions

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Genre en mouvement : conflits, négociations et recompositions

Les mutations économiques, sociales et culturelles qui bouleversent l’ensemble des sociétés contemporaines donnent lieu à une redéfinition des rôles, statuts et positions sociales des femmes et des hommes. Ce colloque entend interroger les asymétries communément admises et faire la lumière sur les contreparties subies (conflits, violences, stratégies de contournements des normes sociales) lorsque les individus investissent des champs allant à l’encontre de l’ordre établi : quelles transformations des rapports de genre ? Quelles recompositions des identités ? Quelles modalités de négociation de la place de l’individu ? Dans une perspective interdisciplinaire, il s’agit de faire le point, à travers le prisme du genre, sur la variété des négociations individuelles et collectives du rapport aux normes sociales.

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Si l'on excepte le Parti des travailleurs, les autres formations politiques ne semblent pas s'accomoder de l'évolution de la société, de manière générale et des femmes de manière particulière. Dès lors, et ce n'est pas nouveau, les partis politiques ne sont pas pressés de mener des campagnes d'abord pour encourager les femmes à entrer dans le monde de la politique. Ceci à travers des propositions de lois en faveur de la facilitation pour les femmes de se libérer du poids des obligations familiales. En un mot, assainir l'environnement des femmes, à travers la construction des infrastructures (crèches, jardins d'enfants). Ce n'est pas tout. Le code de la famille, même amendé, continue à releguer la femme algérienne dans un statut de citoyenne de seconde zone. En effet, les femmes en Algérie ont le droit de postuler à des responsabilités, à se porter candidate à la présdience de la république. En revanche, elles n'ont pas le droit de décider de leur propre sort. Elles ne se marient qu'en présence d'un tuteur, elles n'ont pas droit au divorce et la répudiation a été maintenue. Pour en revenir aux femmes dans le parlement, il faut signaler que les députés algériennes, ne se distinguent que rarement, en raison du poids de leur parti. Elles obéissent au doigt et à l'oeil aux consignes de leur formation politique, quand bien même elles seraient en contradiction avec leurs ambitions et leurs droits.

ven 17/07/2009 - 06:54 Permalien

Si l'on excepte le Parti des travailleurs, les autres formations politiques ne semblent pas s'accomoder de l'évolution de la société, de manière générale et des femmes de manière particulière. Dès lors, et ce n'est pas nouveau, les partis politiques ne sont pas pressés de mener des campagnes d'abord pour encourager les femmes à entrer dans le monde de la politique. Ceci à travers des propositions de lois en faveur de la facilitation pour les femmes de se libérer du poids des obligations familiales. En un mot, assainir l'environnement des femmes, à travers la construction des infrastructures (crèches, jardins d'enfants). Ce n'est pas tout. Le code de la famille, même amendé, continue à releguer la femme algérienne dans un statut de citoyenne de seconde zone. En effet, les femmes en Algérie ont le droit de postuler à des responsabilités, à se porter candidate à la présdience de la république. En revanche, elles n'ont pas le droit de décider de leur propre sort. Elles ne se marient qu'en présence d'un tuteur, elles n'ont pas droit au divorce et la répudiation a été maintenue. Pour en revenir aux femmes dans le parlement, il faut signaler que les députés algériennes, ne se distinguent que rarement, en raison du poids de leur parti. Elles obéissent au doigt et à l'oeil aux consignes de leur formation politique, quand bien même elles seraient en contradiction avec leurs ambitions et leurs droits.

ven 17/07/2009 - 06:54 Permalien