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ALGERIE: élections législatives, 10 mai 2012

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ALGERIE: élections législatives, 10 mai 2012

République Démocratique Populaire d’Algérie

Région : Maghreb/Moyen Orient

 

Description de la structure du gouvernement:


Chef de l’Etat: Président Abdelaziz BOUTEFLIKA *



Chef du Gouvernement: Président Abdelaziz BOUTEFLIKA



Assemblée: l’Algérie a un Parlement bicameral (Majlis) constitué du Conseil de la Nation ( Majlis al-Oumma) avec 144 sièges et l’Assemblée Nationale du Peuple (Al-Majlis Ech- chaabi Al Watan avec 389 sièges.  .


Description du systèmeélectoral:
• Le Président est élu par vote à la majorité absolue grâce à un système à deux tours pour un mandat de 5 ans.
• Au sein du Conseil de la Nation (Majlis al-Oumma), 96 membres sont élus au suffrage indirect par un collège électoral pour un mandat de 6 ans et 48 membres sont nommés par le président pour 6 ans. Dans l'Assemblée populaire nationale (Al-Majlis Ech-Chaabi Al-Watani) 389 membres sont élus par un système de représentation proportionnelle à liste bloquée pour servir 5 ans. **
* La Constitution exige que la moitié du Conseil de l'Organisation des Nations soit renouvelée tous les trois ans. Il ya 48 circonscriptions plurinominales (2 sièges) correspondant aux wilayas du pays (districts administratifs).


Population:
• Population: 35.406.303 (Juillet 2012)
Source: Guide des élections IFES

Thème
mdrame (non vérifié)

Fadila Mehal a mené de nombreux combats pour la représentation politique des femmes. Elle s’est aussi beaucoup investie dans le champ économique pour l’adoption de la loi Copé-Zimmermann, qui donne 40% des sièges aux femmes dans les conseils d’administration des grandes entreprises. Elle compte s’investir pour plus de représentation de la femme dans tous les secteurs.


-Que vous inspirent les résultats des législatives algériennes ?

Les résultats sortis des urnes apportent une grande et belle surprise à toutes les féministes qui doutaient ou désespéraient. Toutes les femmes du monde doivent être heureuses qu’en Algérie 147 députés femmes vont désormais siéger à l’Assemblée nationale aux côtés de leurs pairs. Cela représente 32%, et c’est un bond spectaculaire. Pour la France, le très sérieux Forum économique mondial (WEF), dans sa dernière étude sur le classement mondial des égalités hommes/femmes 2010, fait chuter la France à la 46e place sur 134. Cette étude pointe du doigt les défaillances de la politique hexagonale en matière de parité.

C’est vrai qu’en France, le pourcentage de femmes à l’Assemblée est de 18,5%, ce qui fait de nous la lanterne rouge des pays européens et même dans le monde, puisque nous occupons la 169e rang pour la parité. C’est dire s’il reste du chemin à faire. Je suis vraiment fière que l’Algérie, mon pays de naissance et de cœur, ait accompli cette «révolution culturelle» silencieuse, alors que les freins, les frilosités et les résistances étaient encore nombreux.

Pour lire la suite de l'interview visiter le site web de Elwatan

mar 15/05/2012 - 06:12 Permalien
mdrame (non vérifié)

Trois jours après l’annonce de l’écrasante victoire du Front de libération nationale (FLN) aux élections législatives algériennes du 10 mai, l’amertume n’est pas retombée chez les perdants du scrutin. « Les 220 sièges du FLN – sur 462 – sont une tache noire dans le processus démocratique national »,a protesté Abou Djerra Soltani, le leader de l’Alliance pour l’Algérie verte (AAV, islamiste modéré), grand perdant du scrutin avec 48 sièges seulement. Avec 70 sièges, le Rassemblement national démocratique (RND) du premier ministre sortant Ahmed Ouyahia s’est maintenu dans « le rôle de force politique d’appoint ».Il aurait, selon diverses sources dans le camp des perdants, bénéficié « d’un coup de pouce »d’une vingtaine de sièges pour passer devant les islamistes de AAV, ses anciens alliés au sein de l’Alliance présidentielle depuis une décennie, permettant à l’attelage FLN-RND de gouverner seul. Pour lire plus visiter notre page actualité.

lun 14/05/2012 - 06:41 Permalien
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Fadila Mehal a mené de nombreux combats pour la représentation politique des femmes. Elle s’est aussi beaucoup investie dans le champ économique pour l’adoption de la loi Copé-Zimmermann, qui donne 40% des sièges aux femmes dans les conseils d’administration des grandes entreprises. Elle compte s’investir pour plus de représentation de la femme dans tous les secteurs.


-Que vous inspirent les résultats des législatives algériennes ?

Les résultats sortis des urnes apportent une grande et belle surprise à toutes les féministes qui doutaient ou désespéraient. Toutes les femmes du monde doivent être heureuses qu’en Algérie 147 députés femmes vont désormais siéger à l’Assemblée nationale aux côtés de leurs pairs. Cela représente 32%, et c’est un bond spectaculaire. Pour la France, le très sérieux Forum économique mondial (WEF), dans sa dernière étude sur le classement mondial des égalités hommes/femmes 2010, fait chuter la France à la 46e place sur 134. Cette étude pointe du doigt les défaillances de la politique hexagonale en matière de parité.

C’est vrai qu’en France, le pourcentage de femmes à l’Assemblée est de 18,5%, ce qui fait de nous la lanterne rouge des pays européens et même dans le monde, puisque nous occupons la 169e rang pour la parité. C’est dire s’il reste du chemin à faire. Je suis vraiment fière que l’Algérie, mon pays de naissance et de cœur, ait accompli cette «révolution culturelle» silencieuse, alors que les freins, les frilosités et les résistances étaient encore nombreux.

Pour lire la suite de l'interview visiter le site web de Elwatan

mar 15/05/2012 - 06:12 Permalien
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Trois jours après l’annonce de l’écrasante victoire du Front de libération nationale (FLN) aux élections législatives algériennes du 10 mai, l’amertume n’est pas retombée chez les perdants du scrutin. « Les 220 sièges du FLN – sur 462 – sont une tache noire dans le processus démocratique national »,a protesté Abou Djerra Soltani, le leader de l’Alliance pour l’Algérie verte (AAV, islamiste modéré), grand perdant du scrutin avec 48 sièges seulement. Avec 70 sièges, le Rassemblement national démocratique (RND) du premier ministre sortant Ahmed Ouyahia s’est maintenu dans « le rôle de force politique d’appoint ».Il aurait, selon diverses sources dans le camp des perdants, bénéficié « d’un coup de pouce »d’une vingtaine de sièges pour passer devant les islamistes de AAV, ses anciens alliés au sein de l’Alliance présidentielle depuis une décennie, permettant à l’attelage FLN-RND de gouverner seul. Pour lire plus visiter notre page actualité.

lun 14/05/2012 - 06:41 Permalien