La Représentante spéciale du Secrétaire général de l'ONU pour les enfants et les conflits armés, Radikha Coomaraswamy, s'est dite mardi profondément préoccupée par les accusations récurrentes de meurtres, de mutilations et d'enlèvements d'enfants en Côte d'Ivoire depuis le début de la crise post électorale. « Le manque d'accès rend ces accusations extrêmement difficiles à vérifier, ce qui est également une source de préoccupation », a-t-elle ajouté dans une déclaration. « En outre, les filles et les garçons, qui représentent une grande partie des réfugiés fuyant vers le Libéria, sont extraordinairement vulnérables
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La Représentante spéciale du Secrétaire général de l'ONU pour les enfants et les conflits armés, Radikha Coomaraswamy, s'est dite mardi profondément préoccupée par les accusations récurrentes de meurtres, de mutilations et d'enlèvements d'enfants en Côte d'Ivoire depuis le début de la crise post électorale. « Le manque d'accès rend ces accusations extrêmement difficiles à vérifier, ce qui est également une source de préoccupation », a-t-elle ajouté dans une déclaration. « En outre, les filles et les garçons, qui représentent une grande partie des réfugiés fuyant vers le Libéria, sont extraordinairement vulnérables
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