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France: Annie Goupil, l'itinéraire d'une femme qui devint maire

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France: Annie Goupil, l'itinéraire d'une femme qui devint maire

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Première impression : le nouveau maire est élégante, en tailleur-pantalon gris foncé. Blonde et souriante. Chassez le vieux réflexe machiste, il revient au galop. Comme si l'on mesurait le crédit d'un maire à sa garde-robe et à sa couleur de cheveux ! C'est qu'une femme à la tête d'une commune de 5 500 habitants, ça reste peu courant. Malgré la loi sur la parité. « À Flines, Daniel Lemaire a fait le choix des femmes, bien avant que la parité ne devienne obligatoire parmi les adjoints », souligne Annie Goupil. Fière d'avoir fait son entrée dans la vie communale en 2001 dans une équipe très féminisée, sans être béate : « C'est vrai que les délégations comme le sport ou les travaux étaient réservées aux hommes. Tandis que l'enfance, la culture, ou le social étaient attribuées aux femmes... », sourit l'élue, qui admet volontiers son féminisme : « Je suis quand même née un 8 mars, jour des femmes ! » Malicieuse, mais pas amère : elle doit à sa délégation le fauteuil qu'elle occupe depuis le 4 décembre.

Pour plus d'informations, veuillez visiter le site web de la Voixdu Nord

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Première impression : le nouveau maire est élégante, en tailleur-pantalon gris foncé. Blonde et souriante. Chassez le vieux réflexe machiste, il revient au galop. Comme si l'on mesurait le crédit d'un maire à sa garde-robe et à sa couleur de cheveux ! C'est qu'une femme à la tête d'une commune de 5 500 habitants, ça reste peu courant. Malgré la loi sur la parité. « À Flines, Daniel Lemaire a fait le choix des femmes, bien avant que la parité ne devienne obligatoire parmi les adjoints », souligne Annie Goupil. Fière d'avoir fait son entrée dans la vie communale en 2001 dans une équipe très féminisée, sans être béate : « C'est vrai que les délégations comme le sport ou les travaux étaient réservées aux hommes. Tandis que l'enfance, la culture, ou le social étaient attribuées aux femmes... », sourit l'élue, qui admet volontiers son féminisme : « Je suis quand même née un 8 mars, jour des femmes ! » Malicieuse, mais pas amère : elle doit à sa délégation le fauteuil qu'elle occupe depuis le 4 décembre.

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