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ONU: Journée de la population : Ban plaide pour « l'accès universel à la santé procréative »

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ONU: Journée de la population : Ban plaide pour « l'accès universel à la santé procréative »

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Dans un message adressé à l'occasion de la Journée mondiale de la population, observée mercredi 11 juillet, le Secrétaire général de l'ONU a estimé qu'investir dans l'accès universel à la santé procréative, « c'est investir dans des sociétés en bonne santé et dans un avenir mieux assuré. » « Nous pouvons et devons faire mieux. En cette Journée de la population, j'appelle les États Membres à se concerter et à agir rapidement, afin de réduire l'écart qui existe entre la demande et la fourniture de soins de santé procréative. La santé et les droits de la procréation font partie intégrante du développement durable et de la réduction de la pauvreté », a plaidé Ban Ki-moon. Actuellement, dans les pays en développement, seule une femme sur trois vivant à la campagne reçoit les soins dont elle a besoin durant sa grossesse. Souvent liées à la pauvreté et au manque d'éducation, les grossesses précoces sont toujours courantes dans la plupart des régions du monde. Plus de 200 millions de femmes et d'adolescentes n'ont pas accès aux contraceptifs et les programmes de planification familiale volontaire sont à court de ressources à peu près partout, a rappelé le Secrétaire général, qui a donc recommandé d'investir dans l'accès universel à la santé procréative.
Pour plus d'informations, veuillez visiter le site web de l'ONU

« Nous pouvons et devons faire mieux. En cette Journée de la population, j'appelle les États Membres à se concerter et à agir rapidement, afin de réduire l'écart qui existe entre la demande et la fourniture de soins de santé procréative. La santé et les droits de la procréation font partie intégrante du développement durable et de la réduction de la pauvreté », a plaidé Ban Ki-moon.

Actuellement, dans les pays en développement, seule une femme sur trois vivant à la campagne reçoit les soins dont elle a besoin durant sa grossesse. Souvent liées à la pauvreté et au manque d'éducation, les grossesses précoces sont toujours courantes dans la plupart des régions du monde. Plus de 200 millions de femmes et d'adolescentes n'ont pas accès aux contraceptifs et les programmes de planification familiale volontaire sont à court de ressources à peu près partout, a rappelé le Secrétaire général, qui a donc recommandé d'investir dans l'accès universel à la santé procréative.

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Dans un message adressé à l'occasion de la Journée mondiale de la population, observée mercredi 11 juillet, le Secrétaire général de l'ONU a estimé qu'investir dans l'accès universel à la santé procréative, « c'est investir dans des sociétés en bonne santé et dans un avenir mieux assuré. » « Nous pouvons et devons faire mieux. En cette Journée de la population, j'appelle les États Membres à se concerter et à agir rapidement, afin de réduire l'écart qui existe entre la demande et la fourniture de soins de santé procréative. La santé et les droits de la procréation font partie intégrante du développement durable et de la réduction de la pauvreté », a plaidé Ban Ki-moon. Actuellement, dans les pays en développement, seule une femme sur trois vivant à la campagne reçoit les soins dont elle a besoin durant sa grossesse. Souvent liées à la pauvreté et au manque d'éducation, les grossesses précoces sont toujours courantes dans la plupart des régions du monde. Plus de 200 millions de femmes et d'adolescentes n'ont pas accès aux contraceptifs et les programmes de planification familiale volontaire sont à court de ressources à peu près partout, a rappelé le Secrétaire général, qui a donc recommandé d'investir dans l'accès universel à la santé procréative.
Pour plus d'informations, veuillez visiter le site web de l'ONU

« Nous pouvons et devons faire mieux. En cette Journée de la population, j'appelle les États Membres à se concerter et à agir rapidement, afin de réduire l'écart qui existe entre la demande et la fourniture de soins de santé procréative. La santé et les droits de la procréation font partie intégrante du développement durable et de la réduction de la pauvreté », a plaidé Ban Ki-moon.

Actuellement, dans les pays en développement, seule une femme sur trois vivant à la campagne reçoit les soins dont elle a besoin durant sa grossesse. Souvent liées à la pauvreté et au manque d'éducation, les grossesses précoces sont toujours courantes dans la plupart des régions du monde. Plus de 200 millions de femmes et d'adolescentes n'ont pas accès aux contraceptifs et les programmes de planification familiale volontaire sont à court de ressources à peu près partout, a rappelé le Secrétaire général, qui a donc recommandé d'investir dans l'accès universel à la santé procréative.

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