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Leadership des femmes

Les guerres et conflits armés entrainent de graves conséquences humanitaires pour l’ensemble des populations touchées. Si les femmes ne constituent certainement pas un groupe homogène, elles payent un lourd tribut à la guerre. Cette analyse propose d’aborder dans des contextes de situations de conflits ou de guerre, l’impact de ces situations sur les femmes et le rôle qu’elles peuvent jouer dans les processus de paix et de maintien de la paix.

Les Nations Unies et le Conseil de Sécurité ne cessent de dire combien, partout où des conflits existent, leurs conséquences sont dévastatrices, avec des spécificités différentes pour les hommes et femmes. Les femmes disposent souvent de moins de moyens que les hommes pour se protéger. Avec les enfants, elles constituent généralement la majorité des populations réfugiées ou déplacées. Elles sont la cible récurrente de tactiques guerrières comme les violences sexuelles.

Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par le Centre National de Coopération au Développement, le 19 décembre 2023.

La société civile ivoirienne, en collaboration avec des organisations gouvernementales et internationales, s'engage à améliorer la représentativité des femmes dans les sphères politiques et administratives du pays. Les récentes discussions lors d'un atelier de deux jours ont abouti à des recommandations significatives visant à renforcer la mise en œuvre de la loi sur le quota lors des élections locales et sénatoriales de 2023.

L'initiative, pilotée par le National Democratic Institute (NDI) Côte d'Ivoire et ONU Femmes Côte d'Ivoire, en partenariat avec la Commission Électorale Indépendante (CEI) Côte d'Ivoire et le Ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, s'est concentrée sur l'évaluation de l'efficacité de la loi sur le quota. Cet événement a réuni une diversité de femmes élues, cadres politiques, acteurs/actrices de la société civile et d’organisations étatiques.

Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par Linfodrome le 17 décembre 2023.

En France, la diplomatie féministe se fonde sur la défense et la promotion de l'égalité entre les femmes et les hommes et la prévention de toutes les formes de violences faites aux femmes. Un grand pas vers l'égalité ?

Si les idées féministes semblent progresser, un phénomène de régression est à l’œuvre sur tous les continents, des États-Unis à l'Iran en passant par la Pologne, les femmes, qui restent souvent les plus impactées lors des conflits, restent largement sous-représentées dans les instances internationales. Combien de secrétaires générales de l'ONU ? Zéro.

Pourquoi les femmes sont-elles encore minoritaires dans les lieux de pouvoir ? Comment faire pour qu'elles le soient moins ?

Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par Radio France, le 11 décembre 2023.

Selon une enquête Ifop pour le club Femmes d'Influence, les Français estiment que les femmes sont plus engagées que les hommes face aux enjeux environnementaux et pensent que le pays irait plus loin en matière de développement durable si elles étaient plus nombreuses aux postes de décision.

Alors que la COP 28 bat son plein à Dubaï, le club Femmes d'Influence, créé en 2010 et qui rassemble une centaine de femmes oeuvrant dans l'économie et le social, la politique et les médias, les arts et le sport, a voulu lui aussi mettre l'accent sur la lutte contre le dérèglement climatique et le pouvoir des femmes dans ce domaine.

Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par La Tribune, le 4 décembre 2023.

Si l'action politique est au centre de la protection du climat, des recherches montrent que l'influence du politique sur l'environnement est plus efficace lorsque des femmes occupent des postes à responsabilités.

La COP est encore en cours, et ses délégués ont réussi à voter la création du fonds pour compenser les pays pauvres, dont nous parlions la semaine dernière. C’est une bonne nouvelle, même si les contributions sont toujours volontaires et les engagements se chiffrent aujourd’hui en centaine de millions de dollars, alors qu’il faudrait plutôt des centaines milliards.

Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par Radio France, le 4 décembre 2023.

Le dernier indice mondial de paix et de sécurité des femmes (WPS) a été publié par le Georgetown Institute for Women, Peace and Security et l’institut privé de recherche sur la paix et les conflits de Norvège. Pour la quatrième fois, 177 pays ont été classés selon l’inclusion, la justice et la sécurité des femmes.

Sous ces trois dimensions se cachent 13 indicateurs qui permettent d’évaluer les pays. L’éducation, l’emploi, la représentation parlementaire ou les violences intrafamiliales sont analysés. Quatre nouveaux indicateurs ont été ajoutés cette année : l’accès à la justice, la mortalité maternelle, la violence politique et la proximité des conflits. Il est important de noter qu’aucun pays n’obtient de résultats parfaits, l’Institut Georgetown précise d’ailleurs que "tous les pays peuvent encore s’améliorer.".

Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par RTBF, le 15 novembre 2023.

Avec Magdalena Andersson, finalement élue première ministre de Suède lundi 29 novembre, et Xiomara Castro, en passe de devenir présidente du Honduras après sa victoire aux élections dimanche, la liste des femmes ayant dirigé un pays s’agrandit.

Les femmes dirigeantes ont existé sur tous les continents, mais l'Europe est la région avec la plus forte concentration de nations qui ont eu à leur tête une femme, et ce à plusieurs reprises. Tous les pays qui ont connu trois femmes leaders ou plus s'y trouvent. Celui qui a eu le plus de femmes aux commandes est la Suisse. Le pays dénombre cinq anciennes présidentes de la Confédération suisse, mais dispose d'un avantage car le mandat présidentiel est limité à un an.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Statista, le 30 novembre 2021.


Premièrement, ce rapport reflète les principaux arguments présentés au cours de la réunion sur les obstacles persistants à la participation significative des femmes aux processus de paix et de médiation, ainsi que les possibilités qui existent pour les éliminer. Plus précisément, les participants au séminaire ont discuté des défis liés à une volonté politique limitée ; du lien entre la sous-représentation des femmes en politique et leur marginalisation dans les processus de paix ; de l’équilibre complexe entre la représentation des femmes et la promotion de l’égalité des sexes ; et des obstacles à une participation durable de la société civile.

Deuxièmement, le rapport met en évidence les perspectives et les enseignements tirés que les représentants des Nations Unies, des États membres, des organisations régionales et de la société civile ont partagés sur la manière de renforcer la participation significative des femmes aux processus de paix. Deux stratégies ont été mises en avant : la conception de processus de paix inclusifs et le rôle des réseaux régionaux de femmes médiatrices dans le rapprochement des différents processus de paix. Les études de cas de la Colombie, de la Syrie et de Chypre sont également incluses et offrent un aperçu de certaines stratégies performantes pour accroître la participation des femmes.

Enfin, le rapport décrit les principales recommandations politiques qui ont découlé du séminaire, en vue de remédier aux obstacles persistants à la participation des femmes ; et en utilisant des stratégies innovantes et exhaustives pour parvenir à des processus de paix davantage sensibles au genre.

Source: ONU Femmes

Le présent rapport mondial fait état des données nationales disponibles et présente une analyse des obstacles à la représentation équitable des femmes et  leur présence aux postes de décision dans l’administration publique. Il souligne également des exemples d’approches susceptibles d’être efficaces et émet des recommandations d’actions futures. 

Source: PNUD

Le présent rapport examine les tendances à l’échelle mondiale, les difficultés persistantes et les possibilités concernant la participation pleine et effective des femmes à la prise de décisions dans la sphère publique, ainsi que l’élimination de la violence, en vue de la réalisation de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de toutes les femmes et de toutes les filles. Il présente les progrès réalisés en matière de représentation des femmes à différents niveaux, principalement grâce à des quotas par genre inscrits dans la législation, et montre l’incidence de la participation des femmes à la prise de décisions et à la société civile.

Les problèmes systémiques, en particulier les niveaux croissants de violence perpétrée contre les femmes dans la sphère publique et certaines normes néfastes durables, exigent une attention urgente, tout comme les problèmes spécifiques rencontrés par les femmes marginalisées qui sont confrontées à des formes multiples et croisées de discrimination. Les États peuvent faciliter la mise en place d’un environnement plus inclusif et plus favorable dans lequel toutes les femmes pourraient participer à la vie publique grâce à des objectifs plus ambitieux, une volonté politique accrue, un financement durable et des dispositions institutionnelles tenant compte des questions de genre.

La pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19) a aggravé les difficultés en matière de prise de décisions et, bien que les femmes aient rarement pu participer en nombre égal aux hommes à la prise de décisions sur les mesures de lutte contre la COVID-19, dans plusieurs pays où elles occupent des postes de direction, la riposte à la pandémie a été particulièrement efficace. Le rapport se termine par des recommandations formulées à l’intention de la Commission de la condition de la femme, pour examen.

Cliquez ici pour lire le rapport.

Comment la pandémie de COVID-19 change-t-elle la façon dont les parlements fonctionnent ? Quels sont les parlements qui continuent de siéger ? Comment les parlements contribuent-ils à la mise en œuvre des mesures sanitaires d'urgence recommandées par l'Organisation mondiale de la Santé ?

Sur cette page, nous allons répertorier un certain nombre de mesures prises dans le monde entier. Nous le ferons dans le but de faire connaître des pratiques parlementaires et de faciliter la communication interparlementaire. La liste ci-dessous n'est pas exhaustive et les comptes rendus sont fournis à titre d'information uniquement.

Les renseignements figurant sur cette page ne reflètent pas nécessairement la position de l'UIP et ne constituent pas une approbation d'une ligne de conduite particulière. L'UIP ne promeut ni ne soutient aucune marque ni aucun fournisseur de services, et ne peut se porter garante de l'adéquation des produits cités par rapport à des besoins spécifiques.

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Les parlementaires sont parfois être victimes de violations des droits de l'homme, al-lant de la détention arbitraire et de l'exclusion de la vie publique à l'enlèvement et au meurtre dans les pires cas. L'UIP défend les parlementaires en danger depuis 40 ans par l'intermédiaire de son Comité des droits de l'homme des parlementaires.

La carte ci-dessous montre les violations des droits de l'homme des parlementaires qui sont actuellement suivies par l'UIP. En cliquant sur un pays, vous accédez à la page du parlement, sur laquelle vous pouvez obtenir les dernières informations sur les cas en question.

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