Après-Merkel: quel avenir politique pour les femmes en Allemagne?
Source: Ouest France
L’ère Merkel touche à sa fin. Avec la reconfiguration du pouvoir se pose la question de la place que vont désormais occuper les femmes en politique, au parlement et dans les partis. Elles risquent de n’y jouer que les seconds rôles. » Le point de vue de Valérie Dubslaff, maîtresse de Conférences en histoire et civilisation du monde germanique à l’Université de Rennes.
Merkel continue certes à diriger le gouvernement par intérim jusqu’à la formation de la prochaine coalition, mais son départ de la chancellerie est imminent. Après l’échec historique aux élections fédérales du 26 septembre dernier du candidat conservateur à sa succession, Armin Laschet, la perspective d’une alternance s’impose de plus en plus. Avec la reconfiguration du pouvoir se pose aussi la question de la place que vont désormais occuper les femmes en politique, au parlement et dans les partis. Elles risquent de n’y jouer que les seconds rôles, tant la tendance à la « remasculinisation » est frappante.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Ouest France, le 10 novembre 2021.
L’ère Merkel touche à sa fin. Avec la reconfiguration du pouvoir se pose la question de la place que vont désormais occuper les femmes en politique, au parlement et dans les partis. Elles risquent de n’y jouer que les seconds rôles. » Le point de vue de Valérie Dubslaff, maîtresse de Conférences en histoire et civilisation du monde germanique à l’Université de Rennes.
Merkel continue certes à diriger le gouvernement par intérim jusqu’à la formation de la prochaine coalition, mais son départ de la chancellerie est imminent. Après l’échec historique aux élections fédérales du 26 septembre dernier du candidat conservateur à sa succession, Armin Laschet, la perspective d’une alternance s’impose de plus en plus. Avec la reconfiguration du pouvoir se pose aussi la question de la place que vont désormais occuper les femmes en politique, au parlement et dans les partis. Elles risquent de n’y jouer que les seconds rôles, tant la tendance à la « remasculinisation » est frappante.
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