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Parité homme-femme : les femmes de l’opposition congolaise engagées dans la lutte

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Parité homme-femme : les femmes de l’opposition congolaise engagées dans la lutte

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Les femmes de la Fédération de l’opposition congolaise ont organisé, le 16 mars à Brazzaville, dans le cadre des festivités du 8 mars, une causerie-débat, couplée d’une formation spéciale. Elles ont saisi l’occasion pour édifier les unes et les autres sur le rôle que la femme joue dans la société, mais aussi sur le combat que celle-ci doit mener pour garantir la parité homme-femme.

Dans les débats, les femmes de l’opposition congolaise ont dénoncé les discriminations et les inégalités que la femme en général subit au quotidien, et qui lui empêchent de s’épanouir.

Malgré tout, ces femmes politiques ont exprimé leur optimisme quant à renverser la tendance, car confiantes de leur savoir-faire ; du potentiel qu’elles disposent et du rôle qu’elles jouent dans la société.

Pour promouvoir la parité, au-delà de leurs manquements, ces femmes ont exprimé la nécessité d’être formées afin qu’elles acquièrent une autonomie financière.

Cliquez ici pour lire l’article publié par l’Agence d’information d’Afrique centrale publié le 18 mars 2017.

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Les femmes de la Fédération de l’opposition congolaise ont organisé, le 16 mars à Brazzaville, dans le cadre des festivités du 8 mars, une causerie-débat, couplée d’une formation spéciale. Elles ont saisi l’occasion pour édifier les unes et les autres sur le rôle que la femme joue dans la société, mais aussi sur le combat que celle-ci doit mener pour garantir la parité homme-femme.

Dans les débats, les femmes de l’opposition congolaise ont dénoncé les discriminations et les inégalités que la femme en général subit au quotidien, et qui lui empêchent de s’épanouir.

Malgré tout, ces femmes politiques ont exprimé leur optimisme quant à renverser la tendance, car confiantes de leur savoir-faire ; du potentiel qu’elles disposent et du rôle qu’elles jouent dans la société.

Pour promouvoir la parité, au-delà de leurs manquements, ces femmes ont exprimé la nécessité d’être formées afin qu’elles acquièrent une autonomie financière.

Cliquez ici pour lire l’article publié par l’Agence d’information d’Afrique centrale publié le 18 mars 2017.

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