La Fédération des femmes du Québec (FFQ) dresse un bilan doux-amer des dernières élections.
Canada
La faible représentation des femmes en politique est un inépuisable sujet qui a fait l'objet de nombreuses analyses et discussions. La campagne électorale actuelle a également soulevé la question de la conciliation politique-famille, tous sexes confondus.
Attablées au Café Krieghoff, un vénérable bistrot de 35 ans très prisé sur le Plateau Montcalm à Québec, Esther Lapointe, directrice générale du Groupe Femmes, Politique et Démocratie (GFPD) et moi, discutons énergiquement des femmes et du pouvoir.
La Fédération des femmes du Québec (FFQ) regrette que seuls 30 % des candidats aux élections du 7 avril soient de femmes et plaide pour une loi qui obligerait les partis politiques à respecter une « zone de parité » qui fixerait le taux minimal de candidates à 40 %.
Philippe Gosselin, candidat officiel d’Option nationale dans Chicoutimi et Sol Zanetti, chef d’Option nationale, souhaitent souligner la participation des femmes en politique ainsi que leur contribution à la société québécoise.
Mélanie Joly, Christine St-Pierre et Maria Mourani ont discuté samedi des défis attendant les femmes désireuses de faire leur nid au sein des instances politiques.
Les 120 militants de Québec solidaire (QS) réunis à Sherbrooke ont rendu samedi un hommage bien senti à la mairesse de Lac-Mégantic, Colette Roy-Laroche, décrite comme «un modèle pour toutes les femmes du Québec».
Après les élections municipales, les femmes occupent 35 pour cent des postes, soit 160 femmes sur 463 places pour la région.
La Table de concertation du mouvement des femmes Centre-du-Québec (TCMFCQ) est heureuse de constater l’augmentation du nombre de femmes élues dans le monde municipal et particulièrement dans notre région.
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