droits des femmes

Petit à petit, la parité homme-femme fait son nid en politique. Lors des prochaines élections municipales, en mars, toutes les listes présentées dans les communes de plus de 1 000 habitants devront la respecter (elle s’appliquait auparavant aux villes de plus de 3 500 habitants). À Dieppe, les quatre têtes de liste disent ne pas avoir de difficultés à trouver des colistières. Quatre femmes qui se sont engagées à leurs côtés témoignent.

Asha Mirje, leader régionale du Parti du congrès nationaliste (NCP), s’est attirée les foudres de l’opinion publique indienne, en déclarant que les femmes portent aussi une responsabilité dans la vague de viols qui touche le pays.

Lire l'article publié le 29 janvier 2014

Pour illustrer les inégalités homme-femme en 2014 aux Etats-Unis, le président américain a fait une référence à la série Mad Men lors de son discours de l'état de l'Union, allocution annuelle prononcée devant le Congrès.

Lire l'article publié le 29 janvier 2014

En décembre 2013, le réseau European Women on Boards (EWoB) était lancé. Son objectif : faciliter l’accès des femmes aux conseils d’administration en Europe. Maintenant c’est « Women In Business » qui voit le jour ; une plateforme de soutien aux femmes qui entreprennent à Bruxelles.

« Au sortir des élections législatives 2013, un constat est là, implacable : les candidatures au sein des partis politiques ont été faites au détriment des femmes ; les femmes, une fois encore, en sortent faiblement représentées à l’Assemblée nationale ». Cette analyse a été faite par Mme Daou Oumou Dembélé, présidente du Cadre de concertation des femmes des partis politiques (Ccfpp) lors du forum d’échanges et de partage des femmes candidates aux élections législatives de 2013 : « les leçons tirées de l’expérience » organisé jeudi dernier par le NDI.

Un texte riche pour les uns, fourre-tout pour les autres. L'Assemblée nationale a largementadopté, mardi 28 janvier, en première lecture, le projet de loi sur l'égalité femmes-hommes, présenté et défendu par Najat Vallaud-Belkacem, la ministre des Droits des femmes. Le texte a recueilli 359 voix pour et seulement 24 contre. L'ensemble de la gauche s'est prononcé pour et les centristes de l'UDI, qui avaient la liberté de vote, ont aussi "largement" approuvé le texte. Une majorité du groupe UMP s'est abstenue mais quelques-uns ont voté pour.

Ce mardi, les députés votent solennellement la loi sur l’égalité homme-femme. Un satisfecit pour Catherine Coutelle qui entame un autre combat sur l’IVG.

Le moment était très attendu dans le berceau du "printemps arabe". La Constituante tunisienne a adopté, dimanche 26 janvier en fin de soirée, la nouvelle Constitution du pays, plus de trois ans après la révolution qui avait déclenché une vague de contestation dans le monde arabe.

Francetv info revient sur l'adoption chaotique de ce texte, une "étape historique" pour l'ONU,  et sur les enjeux auxquels la Tunisie doit désormais faire face.

Fruit d'un consensus, le texte reconnaît au peuple sa souveraineté et assure la liberté de conscience et de croyance aux citoyens.

Lundi en début d'après-midi, la nouvelle Constitution tunisienne a été signée par le chef de l'État Moncef Marzouki, le premier ministre sortant Ali Larayedh et le président de la Constituante (ANC), Mustapha Ben Jaafar. La veille, peu avant minuit, les députés l'avaient adoptée par 200 voix contre 12, une majorité écrasante.

Lire l'article publié le 27 janvier 2014