l'autonomisation des femmes

La Coordination nationale des femmes de «Benno Bokk Yaakaar» (Bby) s’est réunie mercredi dernier au siège de l’Afp. Cette structure qui soutient la majorité présidentielle, exhorte la justice à faire son travail en toute indépendance.

Lire l'article publié le 24 janvier 2014

Mme Traoré Nana Sissako, Présidente de la Plateforme Veille des Femmes pour des élections sans violence et équitables (PVFEVE) a rencontré les 14 femmes élues lors des élections législatives de 2013. C’était le samedi 18 janvier 2014 au siège de la Plateforme.

La cérémonie était présidée par la ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille, Mme Sangaré Oumou Bah, en présence du représentant d’ONU-Femme au Mali et de la représentante du Projet d’Appui au Processus Electoral (PAPEM).

Les femmes doivent s'impliquer dans la politique locale. C'est le souhait de l'ambassadeur de l'Allemagne près le Bénin qui l'a exprimé, mercredi 23 janvier dernier, à l'occasion de sa tournée de suivi du projet Pdcc dans le département de l'Atacora.

Lire l'article publie le 24 janvier 2014

Au lieu du terme de « complémentarité » entre hommes et femmes, l'égalité entre les citoyens et les citoyennes, « égaux devant la loi sans discrimination », est inscrite au délicat chapitre des droits et libertés. L'Etat doit aussi garantir « les droits acquis de la femme », « l'égalité des chances entre l'homme et la femme », et œuvrer à « la parité dans les Assemblées élues ».

Violences conjugales, parité et concours de mini-miss: les députés ont achevé vendredi l'examen du projet de loi pour l'égalité femmes-hommes, dans une ambiance globalement consensuelle contrastant avec la virulence des échanges à propos de l'IVG en début de semaine.

Alors que le principe de l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives est un principe constitutionnel depuis 1999, la France reste en milieu de classement en termes de représentation des femmes dans ses assemblées élues, loin derrière la Suède et l'Espagne, mais aussi le Rwanda, qui occupe la première place de ce classement, ou encore la Belgique, l'Angola ou l'Italie.

De conditions en concessions, la formation du gouvernement continue de piétiner.
Sans minimiser les enjeux en cause (la réconciliation et ses garanties, le décodage des intentions déclarées, leur efficacité...), une remarque sur l'absence – quasiment confirmée – des femmes dans le prochain gouvernement s'impose.
L'occultation de la femme ne supporte aucun atermoiement : elle trahit les tares d'un système anticitoyen.

Catherine Samba Panza, 59 ans, qui a pris ses fonctions de présidente de transition jeudi à Bangui, est - sous des dehors avenants - une femme de caractère mais aussi de dialogue, entrée en politique il y a dix ans, déjà pour réconcilier des Centrafricains divisés par un coup d'Etat.

Première femme à occuper ce poste en Centrafrique, elle a été élue lundi par le parlement provisoire pour succéder à Michel Djotodia et a prêté serment serment jeudi devant la Cour constitutionnelle provisoire lors d'une cérémonie au palais de l'Assemblée nationale.