L'Inde a entamé le 7 avril 2014 un marathon électoral. Bien que de plus en plus de femmes votent dans le sous-continent, elles restent encore sous-représentées dans la vie publique et en politique. Les choses ont toutefois beaucoup évolué depuis ses premières élections générales de 1952.
L’Alliance «Yakaar» des femmes de la commune d’arrondissement de Gueule-Tapée-Fass-Colobane a procédé, dimanche, à la remise d’attestations de formation à 100 femmes et au lancement du programme de financement en leur faveur.
Asha Mirje, leader régionale du Parti du congrès nationaliste (NCP), s’est attirée les foudres de l’opinion publique indienne, en déclarant que les femmes portent aussi une responsabilité dans la vague de viols qui touche le pays.
En décembre 2013, le réseau European Women on Boards (EWoB) était lancé.
Mme Traoré Nana Sissako, Présidente de la Plateforme Veille des Femmes pour des élections sans violence et équitables (PVFEVE) a rencontré les 14 femmes élues lors des élections législatives de 2013.
Alors que le principe de l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives est un principe constitutionnel depuis 1999, la France reste en milieu de classement en termes de représentation des femmes dans ses assemblées élues, loin derrière la Suède et l'Espag
Coup de colère contre l’establishment laïc israélien, qui dénonce les positions anti-féminines des juifs ultra-orthodoxes, mais limite drastiquement la place des femmes dans la vie publique.
Présentée comme une bonne élève de l’ancien gouvernement, cette élue des Yvelines a dû démontrer sa combativité tout au long de son parcours semé d’embuches.