Aller au contenu principal

Élections

En RDC, de nombreuses femmes sont candidates aux législatives nationales et provinciales du 23 décembre 2018. Cependant, la plupart d’entre elles ne disposent pas d’assez des moyens pour bien préparer leur campagne en vue de les gagner. Pour les soutenir dans leur campagne, l’ONG Observatoire de la Parité a mis en place une clinique électorale en ligne.

-Comment les femmes candidates peuvent tirer profit de cette clinique électorale pendant la campagne électorale ?

Jody Nkashama discute de ce sujet avec Mme Esperance Mwanza, directrice de l’ONG Observatoire de la Parité.

Cliquez ici pour écouter le podcast.

Le 30 juillet 2018, les électeurs zimbabwéens sont appelés aux urnes. Après 37 ans de régime autoritaire de Robert Mugabe, le pays se dirige-t-il vers une ouverture de l'espace politique ? Signe de changement, de nombreuses femmes s'engagent en politique. 

Fadzai Mahere a 32 ans.  Autant dire qu'elle n'a connu comme président du Zimbabwe que Robert Mugabe, le dictateur évincé à l'automne 2017. La porte est désormais ouverte pour que la nouvelle génération fasse ses armes en politique.Pour la candidate parlementaire, il faut agir : « Nous pouvons rester inactifs et nous plaindre de notre sort, à quel point les choses sont difficiles ici, à quel point nos options politiques sont terribles, mais nous pouvons aussi nous impliquer et devenir le changement que nous souhaitons voir au Zimbabwe ».

Tract à la main, Fadzai Mahere fait du porte-à-porte, va à la rencontre des électeurs de son district du Mount Pleasant dans la banlieue d'Harare. Une liberté d'expression toute nouvelle. Cette jeune avocate et militante se présente au siège de parlementaire en tant que candidate indépendante. Rien ne la lie au Zanu-PF, le parti historiquement au pouvoir ou au MDC, le parti éternellement opposant

Dans son manifeste de campagne, elle dit vouloir changer la manière de diriger et de redonner de l'espoir : « Ce que le pays cherche, c'est la compétence, des gens qui peuvent tenir leurs promesses. Evidemment parfois, les gens se concentrent sur le fait que c'est une candidate féminine, mais je pense qu'en fin de compte, une fois que vous prouvez votre courage, les gens dépassent le fait que vous êtes une femme. Parce qu'à la fin de la journée, quand vous agissez, quand vous parlez au Parlement, votre sexe est complètement hors de propos alors oui, ce pays est prêt ».A condition de rester forte et de supporter les noms d'oiseau. Parmi les candidats à la présidentielle, plusieurs femmes politiques et expérimentées se sont déclarées. L'une d’entre elles avait été traitée de sorcière, l'autre de prostituée.

Cliquez ici pour voir le portrait complet.

 

 

 

 

Valerie Van Peel (N-VA) confie au journal De Morgen ses difficultés à trouver des femmes pour confectionner sa liste à Kapellen (province d'Anvers) : "trouver des femmes ambitieuse et capable n'est pas un problème. Mais les règles actuelles créent des difficultés, et pas seulement à Kapellen." La parlementaire fédérale, constatant qu'il y a "moins de femmes intéressées par la politique", estime que les quotas obligatoires de présence de femmes sur les listes devraient faire l'objet d'une "révision" : "les bonnes personnes aux bonnes places qu'ils soient homme ou femme" conclut l'élue nationaliste. Au VLD, Egbert Lachaert pense de même : "Les quotas ne peuvent être qu'une solution temporaire."

Cliquez ici pour lire écouter les informations de le Radio Télévision Belge de la Communauté Française (RTBF) le 11 avril 2018.

La mairesse de Longueuil Caroline St-Hilaire apparaît dans une vidéo de la campagne Présentez-vous du gouvernement du Québec qui vise à d’inciter les citoyens à s’investir en politique municipale.

«Le milieu municipal, c’est s’occuper de notre monde», lance d’emblée Mme St-Hilaire, avant d’énumérer les nombreux défis et enjeux de la politique locale. Elle affirme avoir aimé son expérience comme mairesse de Longueuil et enjoint les femmes à prendre activement part à la vie politique. «Faites-vous confiance, vous êtes les élus de demain», termine-t-elle.

La campagne Présentez-vous s’adresse tout particulièrement aux femmes, avec le slogan «La vie municipale a besoin de femmes engagées».

Cliquez ici pour lire l’article complet publié par Journal Metro le 17 juillet 2017.

La parité aux élections, plus facile à dire qu'à faire. Dix jours après avoir lancé un appel aux candidatures de la société civile en vue des prochaines élections législatives, le candidat à l'élection présidentielle Emmanuel Macron  s'en est ému ce samedi 28 janvier dans un message vidéo adressé sur sa page Facebook en dressant "un constat d'échec". Si son mouvement En Marche assure avoir reçu de nombreuses sollicitations, seules 15% des candidatures adressées émanent de femmes.

Il explique ce phénomène par une situation ancrée dans les mentalités et empêchant les femmes de se considérer aptes et disponibles pour un engagement en politique. Emmanuel Macron évoque ensuite une sorte de "droit de préséance dont bénéficient les hommes dans notre société", reconnaissant en avoir lui-même profité. "Réveillez-vous et discutez-en" conclut Emmanuel Macron. 

Cliquez ici pour en savoir plus sur le Huffington Post le 28 janvier 2017. 

Le visage de la France de demain ? Charlotte Marchandise-Franquet, 42 ans, vient d'être élue candidate à la présidentielle par la primaire citoyenne, un mouvement lancé sur Internet l'année dernière. Sa prétention : élire un candidat pour représenter la société civile à la présidentielle de 2017. Cinq personnes étaient finalistes durant le mois de décembre 2016 - dont deux femmes.

Alors qu'elle est maintenant partie à la conquête des 500 parrainages nécessaires au dépôt de son dossier pour la présidentielle, Girls a pris contact avec Charlotte Marchandise-Franquet afin de parler avec l'élue citoyenne de politique au féminin.  

Cliquez ici pour lire l’interview de RTL Girls publié le 10 janvier. 

Bienvenue dans le nouveau MOOC du Knight Center, “Liberté d’expression, intelligence artificielle et élections”,organisé par le Knight Center for Journalism in the Americas en partenariat avec l’UNESCO, le PNUD et avec le soutien de la Division de l’Assistance Électorale (EAD) du Département des Affaires Politiques et de Consolidation de la Paix (DPPA).

Pendant ce cours en ligne ouvert à tous de 4 semaines, qui se tiendra au cours du mois d’avril 2024, les participants apprendront et exploreront le monde fascinant et en constante évolution de la technologie et de la démocratie, en particulier l’impact de l’intelligence artificielle sur la liberté d’expression lors des élections. 

S’inscrire sur la plateforme est facile. Veuillez suivre ces étapes :

  • Créez un compte sur notre plateforme d’enseignement Journalism Courses. Même si vous avez déjà suivi un cours avec nous auparavant, il se peut que vous ayez besoin de créer un nouveau compte. Vérifiez si votre nom d’utilisateur et votre mot de passe précédents fonctionnent avant de créer un nouveau compte.
  • Attendez une confirmation dans votre e-mail indiquant que votre compte a été créé. Si vous ne recevez pas cela, vérifiez votre dossier de courriers indésirables.
  • Une fois votre compte créé et confirmé, veuillez cliquer sur le lien suivant pour vous inscrire : https://www.kccourses.org/enrol/index.php?id=125
  • Cliquez sur “S’inscrire” pour vous inscrire au cours. Vous pourrez accéder au cours dans le menu “Mes Cours” en haut de la page.
  • Après avoir terminé votre inscription, vous aurez un accès immédiat au cours et recevrez également un e-mail de confirmation.

Qui peut s’inscrire ? (A qui s’adresse ce cours ?)

  • Les praticiens et les régulateurs électoraux. 
  • Les journalistes et les professionnels des médias. 
  • Les organisations de la société civile travaillant dans le domaine des élections, des droits de l’homme et de l’égalité entre les genres.
  • Les étudiants et les éducateurs.
  • Les électeurs et les citoyens désireux de comprendre l’IA et son impact sur la démocratie.

Cliquez ici pour vous inscrire.

La publication «Prévenir la violence à l'égard des femmes dans les élections: Guide de programmation», produite conjointement par ONU Femmes et le PNUD, met en lumière la violence contre les femmes dans les élections.

Ce guide vise à aider ceux qui œuvrent pour une participation accrue des femmes aux processus électoraux et pour limiter la prévalence de la violence à l’égard des femmes dans les élections. Il cherche à identifier les composantes spécifiques de cette violence, y compris les formes, les tactiques, les victimes et les auteurs, et il offre diverses alternatives pour prévenir et limiter cette violence en s’appuyant sur les bonnes pratiques actuelles. Le Guide présente des pratiques existantes ainsi que des pistes de réponses politiques et programmatiques susceptibles d’aider des organismes tels que le PNUD, ONU-Femmes et d’autres agences des Nations Unies dans leur travail d’assistance technique. Il apporte des exemples de définitions et de méthodes issus de toutes les régions. Le Guide ne cherche pas à prescrire une approche particulière et reconnaît que les problèmes et les solutions varieront en fonction du contexte national de chaque pays. Ce qui a bien fonctionné dans un endroit donné et en un temps donné peut ne pas être approprié dans tous les pays, mais peut susciter des idées pour d’autres actions dans un contexte spécifique 

Source: UN Women

Ce cours a été conçu à l'intention des praticiens et des praticiennes actifs dans le domaine électoral en vue de favoriser la tenue d’élections crédibles et transparentes auxquelles ont accès tous les segments de la société. Il est donc destiné aux administrateurs et administratrices de processus électoraux, aux prestataires d’assistance électorale internationale, aux membres de la société civile, aux candidats et candidates politiques, aux membres de partis politiques et à toutes les autres personnes exerçant des fonctions dans l’administration publique ou s’intéressant à celle-ci.

Bien qu’il fasse fond sur plusieurs produits de connaissance élaborés par le PNUD, ONU-Femmes et d’autres organismes des Nations Unies, ce cours n’exige pas de connaissances préalables de textes particuliers. Vous aurez accès tout au long de son déroulement à des informations sur les lectures complémentaires, ainsi que sur les données et publications pertinentes disponibles en ligne qui seraient susceptibles de présenter un intérêt et qui vous permettront d’étendre vos connaissances sur l’accroissement de la participation des femmes à toutes les phases du cycle électoral.

Cliquez ici pour commencer les cours.

Ce manuel décrit la méthodologie d'observation utilisé par I Watch relative au financement des campagnes au cours du prochain cycle électoral en Tunisie.

On vous invite a lire le rapport publié par I Watch Organization